Notre collection de vêtements et d’artisanat japonais
Toute l’équipe parcourt le Japon chaque année pour ne vous ramener que le meilleur.
Kimono
Le kimono (着物, de kiru et mono, littéralement « chose à porter [sur soi] ») est le vêtement traditionnel japonais.
Avant l'introduction des vêtements occidentaux au Japon, le terme kimono désignait tous les types de vêtements ; de nos jours, il se réfère à la robe traditionnelle japonaise, en forme de T, portée essentiellement pour les grandes occasions.
Il est formé de rectangles de tissus pliés et cousus, mais jamais recoupés ; il est rectiligne, tombant jusqu'aux pieds ou chevilles. Sa particularité consiste dans ses manches très longues, pouvant aller jusqu'au sol pour les kimonos des jeunes femmes (furisode).
Le kimono se porte toujours côté gauche sur côté droit : d'une part cela permettait de cacher une arme (tanto), d'autre part, les morts sont habillés en croisant dans le sens inverse. Il est tenu en place par une large ceinture nouée dans le dos, appelée obi.
À retrouver en magasin à partir de 150 €
Yukuta
Yukata (浴衣, littéralement « vêtement de bain ») est un terme japonais désignant un léger kimono d'été porté à la fois par les hommes et par les femmes.
Son origine remonte aux onsen, lorsque les baigneurs se servaient d'un yukatabari, un léger vêtement en lin. Quand les bains se sont démocratisés au Japon, le yukatabira a été remplacé par le yukata, vêtement en coton, beaucoup plus adapté que le lin.
Depuis plusieurs années déjà, le yukata est aussi utilisé pour de nombreuses occasions comme des festivals, pour les bains ou comme vêtement de nuit.
À retrouver en magasin à partir de 75 €
Haori
Haori (羽織) désigne une veste qui tombe aux hanches ou jusqu'aux genoux, et qui ajoute un peu de formalité, mais n'est pas portée par les femmes dans leurs ensembles les plus formels.
À l'origine, le haori était porté seulement par les hommes, jusqu'à la période Meiji, où il a été adopté par les femmes. Les haori féminins sont plus longs que ceux des hommes. Ils peuvent être en soie, en lin, en laine ou en coton.
À retrouver en magasin à partir de 150 €
Inden
Inden est un artisanat traditionnel japonais dans lequel des motifs sont créés avec de la laque sur du cuir de cerf légèrement tanné.
Uehara Yushichi, l'un de ses premiers pères fondateurs, a développé cette technique unique. Depuis, la technique n'a été transmise oralement qu'aux chefs de famille, qui ont également hérité du nom Uehara Yushichi.
L'histoire de l’inden remonte à plusieurs siècles, faisant une apparition dans le Nihon Shoki (« Les Chroniques du Japon »), le plus ancien livre d'histoire du Japon.
À retrouver en magasin à partir de 35 €
Ikebana
L'ikebana (華道) est l'art floral japonais.
Il s'agit d'une discipline artistique dans laquelle la composition est une œuvre vivante où nature et humain se rencontrent. Pratiquer l'ikebana consiste à s'imprégner d'une philosophie qui vous rapproche de la nature. C’est un art qui valorise aussi bien le vase, les tiges, les feuilles et les branches que la fleur elle-même.
À retrouver en magasin à partir de 36 €
Tablier Maekake
Le maekake (前掛け) est un tablier traditionnel japonais, noué aux hanches et porté par les artisans et les commerçants.
Le nom maekake vient de mae, qui signifie avant, et du verbe kakeru, pour accrocher. Les tabliers maekake ont été fortement utilisés par les ouvriers depuis la période Muromachi du XVe siècle.
À retrouver en magasin à partir de 35 €
Sandales Zōri
Les zōri (草履) sont des sandales japonaises.
Traditionnellement, la semelle supérieure des zōri est faite de paille de riz. Les brins sont disposés transversalement, puis attachés par des fils courant sur la longueur de la semelle, une technique comparable à celle employée pour la confection des tatamis. Les lanières sont le plus souvent en velours. La semelle inférieure, cousue à la paille, était généralement en cuir.
À retrouver en magasin à partir de 36 €
Chaussures Geta
Les geta (下駄) sont les chaussures traditionnelles du Japon.
Bien que plus rares aujourd'hui, elles sont encore portées avec des vêtements comme les yukatas (kimono léger d'été), mais aussi avec des vêtements occidentaux et surtout lors des festivals.
À retrouver en magasin à partir de 118 €
Daruma
Daruma (だるま) est le nom japonais de Bodhidharma. C’est une figurine de papier mâché qui a la forme d'un moine bouddhiste.
Un daruma est surtout, dans la culture japonaise, une figurine à vœux, chance et prospérité.
À retrouver en magasin à partir de 7 €
Maneki-neko
Un maneki-neko (招き猫) est une statue traditionnelle japonaise représentant un chat assis et levant la (ou les) patte(s) au niveau de l'oreille, et que l'on trouve fréquemment sur les devantures des magasins ou près des caisses dans les centres commerciaux.
Maneki-neko signifie littéralement « le chat qui invite ». La tradition veut qu'on mette un de ces chats levant la patte dans les magasins pour attirer la fortune (pécuniaire). La patte gauche est censée attirer les clients, la patte droite l'argent. Il existe ainsi des chats levant les deux pattes et plus rarement les quatre pattes.
À retrouver en magasin à partir de 7 €
Furoshiki
Le furoshiki (風呂敷) est une technique traditionnelle japonaise de pliage et de nouage du tissu.
Cette technique est utilisée pour l'emballage de cadeaux et le transport de divers objets du quotidien comme des vêtements, le bentō, un livre, une bouteille, etc.
À retrouver en magasin à partir de 17 €
Ceinture Obi
Un obi (帯) est une ceinture servant à fermer les vêtements traditionnels japonais, tels que les kimonos ou les vêtements d'entraînement pour les arts martiaux.
Elle se présente sous la forme d'un ruban de tissu sans boucle ni fermoir. La manière de nouer le obi est tout un art.
Par tradition, on ne porte aucun bijou avec un kimono, cela explique pourquoi les obis sont si richement décorés et colorés, ils doivent trancher avec le kimono, tout en étant en harmonie avec lui.
À retrouver en magasin à partir de 45 €
Pinceau Kabuki
Le Kabuki (歌舞伎) est une forme de théâtre traditionnel japonais qui a vu le jour à l’époque Edo, au début du XVIIe siècle, où il était particulièrement prisé des citadins.
Joué à l’origine par des hommes et des femmes, il a été par la suite interprété par des troupes exclusivement masculines, tradition qui a perduré jusqu’à nos jours.
Centré sur un jeu d'acteur à la fois spectaculaire et codifié, le Kabuki se distingue par le maquillage élaboré des acteurs. De part sa forme ronde, ce pinceau favorise une application circulaire et atteint sans difficulté les moindres recoins du visage.
À retrouver en magasin à partir de 17 €
Kenzan
Le kenzan (剣山), est un outil utilisé exclusivement dans l'art japonais de la composition florale ikebana pour fixer les fleurs à un contenant.
Il s'agit d'une base en fer hérissée de pics sur lesquels des tiges sont fixées. Le terme kenzan veut littéralement dire « épée de la montagne ».
À retrouver en magasin à partir de 5 €
Ko-omote
Le ko-omote (小面, se traduisant en français par « petit visage ») est l’un des premiers masques du théâtre japonais nô.
Il représente une jeune femme aux joues bien rondes, calme et recueillie, idéalisant la beauté et la naïveté de la jeunesse.
Le masque ko-omote arbore les attributs de la beauté classique de la période Heian : les sourcils sont rasés, les cheveux sont soignés et coiffés et les dents sont noircies.
Les masques de femmes ayant tendance à se ressembler, la manière la plus simple de les différencier est par le motif formé par les mèches de cheveux sur leur front.
Dans le cas du ko-omote, sa coiffure peinte possède trois mèches de chaque côté séparées au milieu et ne se chevauchant pas.
À retrouver en magasin à partir de 25 €
Shodō
La calligraphie japonaise (書 道, shodō, se traduisant en français par « la voie de l’écriture ») est une forme de calligraphie, ou d'écriture artistique, de la langue japonaise.
La calligraphie se pratique au moyen d’un pinceau (筆, fude) et d’une encre noire (墨, sumi), que l’on prépare en frottant un bloc ressemblant à du charbon pour en extraire une poudre qui est ensuite mélangée avec de l’eau.
La façon dont on prépare l’encre et dont on la saisit avec le pinceau est importante, car elle influence l’épaisseur et les nuances de couleur des traits.
À retrouver en magasin à partir de 4 € pour les pinceaux, 13 € pour l’encre.
Peigne
La forme fine et verticale du peigne (梳篦) laisse penser qu’il s’agit d’un ornement de coiffure.
Le peigne possède au Japon une longue histoire. Le plus ancien exemple connu est un peigne en bois vieux d’environ 7 000 ans, découvert dans des ruines de la préfecture de Saga.
Durant l’époque de Heian (du VIIIe au XIIe siècle), les Japonaises portaient leurs cheveux longs et raides. Le peigne se révélait un moyen pratique et décoratif pour attacher leur chevelure et garder le visage dégagé.
Flexible mais solide, le buis japonais est le bois qui convient le mieux à ces peignes car leurs dents ne cèdent pas, même lorsque l’on tire les cheveux avec force.